Bonjour à tous, et très bonne année 2011 !
Eh oui, je me suis décidé à parler de l'homosexualité : il y aurait en effet, d'après le rapport Kinsey, 40% de la population mondiale bisexuelle ou homosexuelle ! C'est pourquoi, je me devais de vous faire au moins un article dans lequel je vous parlerais de l'amour que je ressentirai, si jamais Mlle Julia n'était pas une femme.
Vous verrez qu'une fois de plus, concernant ce sujet, psychologie et biochimie se contredisent !
Tout d'abord, d'après les psychologues, il existe deux grands modes différents d'homosexualité :
Le premier mode tient de l'enfance de l'individu, au moment de la prise de conscience de l'existence des deux sexes différents; en effet l'enfant n'arrivera pas à admettre l'absence de pénis chez la mère, et ira même jusqu'à refuser d'admettre cette réalité ! La conséquence ? Eh bien, le sujet masculin devenu adulte choisira par exemple d'avoir des relations sexuelles avec un autre homme, à condition que celui-ci soit porteur de l'image maternelle; l'homosexuel par ce mode cherchera en fait à s'identifier à son père, seulement, inconsciemment, il n'a toujours pas admis que les femmes n'avaient pas de sexe masculin : c'est pourquoi il aura tendance à être attiré par les hommes. C'est ce mode d'homosexualité qui sera à l'origine du transexuallisme
Le deuxième mode est bien différent; il s'agit en fait d'une identification à sa propre mère plutôt qu'à son père. L'homosexuel cherchera en fait, en donnant de l'amour à un homme plus jeune que lui, à reproduire l'amour qui lui a été donné par sa mère lors de sa plus tendre enfance, amour qui, je vous le rappelle, a été "enregistré" comme idéal ! Ainsi donc, il aimera des partenaires plus jeunes, comme sa mère l'a aimé : ce mode d'homosexualité pourra mener à la pédophilie notamment.
Ces deux modes seraient les plus courants, d'après les psychologues. Cependant, il existerait en fait un troisième mode d'homosexualité; il s'agit d'un mode qui n'en est pas vraiment un : l'adolescent, par volonté de se rebeller, de contredire ses parents, et de paraître plus mûr, mais surtout différent, pourra se faire passer pour homosexuel, en tentant de tomber amoureux d'un ami qui présente le même besoin de rébellion, quelqu'un du même sexe. Ce fait est surtout observable chez les adolescentes, à la suite d'une très forte amitié. Le jeune arrivera à se convaincre lui-même qu'il est amoureux de cette personne du même sexe, dans le but de se donner une image nouvelle et différente !
Ainsi donc, quoiqu'il en soit, d'un point de vue psychique, on ne naît pas homosexuel, on le devient. Mais ce n'est pas ce que dit Platon ! En effet, dans Le Banquet, il rapporte les paroles d'Aristophane, qui parle du mythe de l'Androgyne; ce mythe présente l'origine de l'amour, sa création : il y aurait, au début des temps, avant que l'amour existe, 3 genres humains différents : les hommes, les femmes et les androgynes, des créatures humaines à quatre bras, quatre jambes, deux visages par tête, etc (leur représentation, ci-dessus). Ce dernier genre décida, un jour, de s'attaquer au dieux, mais Zeus, furieux d'une telle audace de leur part, décida de les punir en leur jetant un sort qui les séparèrent en un homme et une femme. Ainsi, chaque moitié se mit à chercher son complément : c'est ce jour que naquit l'amour ! Quant aux hommes et femmes déjà présents, ils décidèrent de s'aimer eux-aussi, dans le but d'imiter ces personnes à l'origine si supérieures. Ces derniers sont donc attirés entre eux : ainsi, un homme pourra être attiré par une femme comme par un autre homme, et idem pour les femmes; il s'agirait là de l'origine de l'homosexualité !
On remarque donc que, pour le philosophe grec, les personnes qui ne sont pas issues d'ancêtres androgynes sont homosexuels : il voit donc en l'orientation sexuelle une décision explicite que l'on pourrait déterminer dès la naissance !
Mais, qu'en dit la science ?
D'après eux, d'un point de vue cérébral, et cellulaire, la rencontre amoureuse se fait exactement de la même façon chez les homosexuels que chez les hétérosexuels. Il s'agirait, en revanche, à la base, d'une différente interprétation suite à la réception des phéromones ! En effet, une équipe suédoise à observé les cerveaux de 90 hommes et femmes : parmi eux 50 hétérosexuels et 40 homosexuels. Leurs études prouvent qu'au niveau de l'hypotalamus, cette région interprétant les phéromones captés par l'organe voméronasal, la structure du cerveau des homosexuels est tout à fait comparable à celle des hétérosexuelles de sexe opposé, et inversement. Ainsi, on se retrouve face à deux choix : est-ce que, suite à l'apparition de l'homosexualité au cours de l'enfance ou de l'adolescence, comme l'indiquent les théories psychologiques, la structure de l'hypotalamus va se modifier, ou est-ce que, tout simplement, on naît homosexuel ? Aujourd'hui encore, personne n'a jamais réussi à prouver que l'homosexualité serait due à un allèle alternatif; on ne peut donc toujours pas affirmer que l'origine est génétique... !
Voici donc pour l'homosexualité ! Je me devais de vous en parler, malgré le fait que je suis amoureux d'une demoiselle, cette Julia. Cet amour, d'ailleurs, qui est, ami blogueur, chaque jour croissant malgré l'absence de cette femme qui me rend fou... Saurais-je garder ce secret encore longtemps ? Je ne le sais pas...
Encore une fois, bonne année à tous, et beaucoup de bonheur... En amour notamment !
Dr. Alfred Kinsey, connu pour sa rédaction des rapports Kinsey, livre découlant de ses études sur le comportement humain sexuel. |
Vous verrez qu'une fois de plus, concernant ce sujet, psychologie et biochimie se contredisent !
Tout d'abord, d'après les psychologues, il existe deux grands modes différents d'homosexualité :
Le premier mode tient de l'enfance de l'individu, au moment de la prise de conscience de l'existence des deux sexes différents; en effet l'enfant n'arrivera pas à admettre l'absence de pénis chez la mère, et ira même jusqu'à refuser d'admettre cette réalité ! La conséquence ? Eh bien, le sujet masculin devenu adulte choisira par exemple d'avoir des relations sexuelles avec un autre homme, à condition que celui-ci soit porteur de l'image maternelle; l'homosexuel par ce mode cherchera en fait à s'identifier à son père, seulement, inconsciemment, il n'a toujours pas admis que les femmes n'avaient pas de sexe masculin : c'est pourquoi il aura tendance à être attiré par les hommes. C'est ce mode d'homosexualité qui sera à l'origine du transexuallisme
Le deuxième mode est bien différent; il s'agit en fait d'une identification à sa propre mère plutôt qu'à son père. L'homosexuel cherchera en fait, en donnant de l'amour à un homme plus jeune que lui, à reproduire l'amour qui lui a été donné par sa mère lors de sa plus tendre enfance, amour qui, je vous le rappelle, a été "enregistré" comme idéal ! Ainsi donc, il aimera des partenaires plus jeunes, comme sa mère l'a aimé : ce mode d'homosexualité pourra mener à la pédophilie notamment.
Ces deux modes seraient les plus courants, d'après les psychologues. Cependant, il existerait en fait un troisième mode d'homosexualité; il s'agit d'un mode qui n'en est pas vraiment un : l'adolescent, par volonté de se rebeller, de contredire ses parents, et de paraître plus mûr, mais surtout différent, pourra se faire passer pour homosexuel, en tentant de tomber amoureux d'un ami qui présente le même besoin de rébellion, quelqu'un du même sexe. Ce fait est surtout observable chez les adolescentes, à la suite d'une très forte amitié. Le jeune arrivera à se convaincre lui-même qu'il est amoureux de cette personne du même sexe, dans le but de se donner une image nouvelle et différente !
Clivage de l'Androgyne. Œuvre réalisée par Gérard Pigeron. |
On remarque donc que, pour le philosophe grec, les personnes qui ne sont pas issues d'ancêtres androgynes sont homosexuels : il voit donc en l'orientation sexuelle une décision explicite que l'on pourrait déterminer dès la naissance !
Mais, qu'en dit la science ?
D'après eux, d'un point de vue cérébral, et cellulaire, la rencontre amoureuse se fait exactement de la même façon chez les homosexuels que chez les hétérosexuels. Il s'agirait, en revanche, à la base, d'une différente interprétation suite à la réception des phéromones ! En effet, une équipe suédoise à observé les cerveaux de 90 hommes et femmes : parmi eux 50 hétérosexuels et 40 homosexuels. Leurs études prouvent qu'au niveau de l'hypotalamus, cette région interprétant les phéromones captés par l'organe voméronasal, la structure du cerveau des homosexuels est tout à fait comparable à celle des hétérosexuelles de sexe opposé, et inversement. Ainsi, on se retrouve face à deux choix : est-ce que, suite à l'apparition de l'homosexualité au cours de l'enfance ou de l'adolescence, comme l'indiquent les théories psychologiques, la structure de l'hypotalamus va se modifier, ou est-ce que, tout simplement, on naît homosexuel ? Aujourd'hui encore, personne n'a jamais réussi à prouver que l'homosexualité serait due à un allèle alternatif; on ne peut donc toujours pas affirmer que l'origine est génétique... !
Voici donc pour l'homosexualité ! Je me devais de vous en parler, malgré le fait que je suis amoureux d'une demoiselle, cette Julia. Cet amour, d'ailleurs, qui est, ami blogueur, chaque jour croissant malgré l'absence de cette femme qui me rend fou... Saurais-je garder ce secret encore longtemps ? Je ne le sais pas...
Encore une fois, bonne année à tous, et beaucoup de bonheur... En amour notamment !
A une prochaine fois !
Dr R.